Dans le journal Le Soleil du 30 septembre 2012, Jean-Jacques Pelletier discute de La Fabrique de l’extrême avec Didir Fessou dans «Jean-Jacques Pelletier, essayiste panoramique»:
Dans ce deuxième essai, La fabrique de l’extrême, l’auteur s’intéresse aux structures qui génèrent ces comportements radicaux. À savoir les processus et les modes d’organisation économiques, technologiques, sociaux, politiques et idéologiques: la religion comme contrôle des individus, la politique-spectacle qui érige les parlementaires en héros, le confort et la «convivialité paradoxale» de notre quotidien dans un monde déchiré par la guerre, l’omniprésence de la technologie comme réponse à tous les problèmes et, enfin, la cupidité comme valeur absolue.