Premières mentions du livre Les Taupes Frénétiques dans les médias…
Cyberpresse: Les taupes frénétiques – La vie en miettes :
On le voit, Pelletier ratisse large. Les chapitres se suivent, les cas de figure s’additionnent. Les «dessous» de la mode; les «gladiateurs virtuels» que sont ceux qui se jette dans l’arène des téléréalités; le cinéma et ses «images hallucinantes», la radio et sa «parole enragée», l’excès dans les arts, la musique, le roman (lieu de «narcissisme extrême»), l’obsession sécuritaire, l’humour sans limites, l’information comme «make over extrême de la réalité»… tout y passe. Tout est scruté à la loupe. C’est parfois fastidieux, souvent, le lecteur doit reprendre son souffle, dans cette énumération étourdissante. Mais c’est toujours juste, toujours stimulant, formidablement intelligent.
Le Devoir: Jean-Jacques Pelletier – Homo distractus: l’homme du XXIe siècle
Le champ de la collecte est très large: mode, télé, radio, littérature, art visuel, jeux vidéo, pub, information, lutte, jeunesse éternelle, soins du corps, violence au quotidien. La première partie de l’essai s’attaque au monde des médias et du spectacle. L’auteur s’attarde ensuite à la façon dont l’humain vit dans ce bombardement. Le résultat? «La somme des impuissances à vivre.» Un inventaire, un amoncellement, des faits et encore des faits lancés en mottes, récupérés davantage des journaux, des magazines et de Wikipédia que des habituelles bibliothèques. Le portrait est triste: «Prose est probablement beaucoup plus cynique que moi», indique l’ancien prof de philo.
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